1
Juil

Le marché du Cloud explose

Partout dans le monde entier, le marché du Cloud ne cesse de progresser et ce, à vitesse grand V. En effet, dans notre société où internet et les objets connectés sont de plus en plus d’actualité, le Cloud s’est imposé telle LA technologie inéluctable du futur. Désormais, migrer vers le Cloud ou encore y puiser un service Web est devenu un geste anodin au quotidien. La révolution informatique est bel et bien ancrée dans la société d’aujourd’hui.

Une explosion à l’échelle internationale

Le Cloud est devenu une réalité incontournable pour tous, qu’il s’agisse du grand public ou du secteur privé professionnel. En effet en 2016, le Cloud a généré des revenus de plus de 147 milliards de dollars au niveau mondial. Ces revenus ont augmenté de +25% en une année.

Une vingtaine de grosses pointures dans le domaine de l’industrie digitale se partagent quelques 68% des parts du marché dont le géant américain Microsoft, Amazon Web Services, Google, Salesforce, IBM, Oracle, sans oublier les chinois Alibaba, Baibu ou encore Tencent. Pour la France, OVH, une entreprise à Roubaix est reconnue comme le « leader européen de l’informatique dématérialisée ». Egalement proprio de hubiC, cette entreprise a généré la bagatelle de 400 millions d’euros au printemps 2017.

Le Cloud et la Business Intelligence

Dresner Advisory Services a publié dans son rapport Cloud Computing and Business Intelligence Market Study, le lien incontournable en plein boom, entre le Cloud et la Business Intelligence (BI). Selon Dresner Advisory, il est considéré comme appartenant au domaine du Cloud BI, les outils de requête et de reporting, l’OLAP, le Data Mining, les solutions analytiques, les outils d’analyses et de requêtes ad hoc ainsi que les tableaux de bord.

Parmi ces fonctionnalités, les tableaux de bord, la visualisation avancée, les requêtes ad-hoc, la data intégration et le self-service sont les plus plébiscités en 2018. Voire, l’utilisation du Cloud BI a littéralement doublée en 2018 comparée à l’utilisation en 2016. Si pour l’année 2016, 25% des entreprises ont adopté ces fonctionnalités, ce pourcentage est passé à 49% en 2018. Pour 90% des équipes de ventes et marketing sondées par Dresner, il s’avère que le Cloud BI a une importance capitale dans l’exercice de leurs activités.

Les tendances du marché du Cloud en France

Le Cloud computing connait un succès monstre en France notamment causé par les avantages que l’outil propose en termes de performance, de capacité montée en charge et aussi de sécurité comparée à un centre de données classique. En France, le marché du Cloud computing et des services associés a été évalué à 8,5 milliards d’euros pour l’année 2017. De même, la part du SaaS dans le marché du Cloud computing se monte à 54% en 2017. Concernant l’IaaS, le marché des Clouds publics est estimé passé de 36 à 41% entre 2017 et 2019 pour une croissance de +31%.

Le marché chinois à surveiller

Si les Etats-Unis restent le plus important débouché pour les fournisseurs de services de Cloud public avec un revenu estimé à 97 Md$, les marchés potentiels en Europe de l’Ouest se trouvent au Royaume-Uni avec un revenu estimé à 7,9 Md$ et en Allemagne qui génèrera 7,4 Md$. Quant au marché chinois, la croissance du marché du Cloud public sera fulgurante pour caracoler vers les 43% par an d’ici 2021. Cette ascension prodigieuse lui permettra de surpasser le marché européen.

Le Cloud est au service de la data science

Aujourd’hui, il est clairement impossible d’évoluer sans le Cloud puisqu’il permet de stocker des données sans aucune difficulté. Vous pouvez donc identifier toutes les solutions qui vous permettent notamment de concrétiser vos besoins. Vous pourrez en savoir plus ici et vous serez en mesure de découvrir une solution SaaS qui permet d’industrialiser les données.

  • Les professionnels peuvent ainsi obtenir un écosystème de données très rentable.
  • Les clients sont accompagnés au cours de toutes les étapes, cela permet d’apporter de la valeur et d’obtenir des résultats rapidement.
  • Trois piliers sont alors nécessaires pour cette data science, les professionnels veulent fluidifier, augmenter et exécuter.
  • Il faut savoir que le Smart Data est différent du fameux Big Data que nous avons tendance à croiser sur Internet.
  • Il permet de traiter des données relativement fraîches alors qu’elles ont de la valeur.
  • Les professionnels peuvent ainsi jouir de décisions à la fois actionnables et pertinentes.
  • Comme le Cloud connaît un succès sans précédent en France, il y a de grandes chances que les deux domaines puissent s’aider mutuellement.

Il est important de noter que la plateforme peut concerner de nombreuses infrastructures qu’elles soient hybrides ou complexes. Vous aurez alors la prise en charge de toutes les tâches que ce soit pour connecter toutes les sources, automatiser les chaînes de traitement et même mettre en place des process. De nombreux acteurs ont accordé leur confiance à ce professionnel, vous pourriez alors rapidement concrétiser vos projets et vos besoins grâce à cette plateforme.


Certains secteurs sont privilégiés dans ce domaine à savoir l’industrie, la mobilité ainsi que l’agriculture. Aujourd’hui, personne ne peut réellement échapper au Cloud et à la data science puisqu’ils sont finalement au coeur de notre quotidien. N’hésitez pas à vous rapprocher de ce professionnel pour en apprendre un peu plus.

27
Juin

Les prévisions de la BCE pour la croissance

La Banque Centrale Européenne (BCE) a montré de l’optimisme sur la croissance économique de la zone euro pour les prochaines années. En effet, elle a estimé que les risques qui pesaient sur son activité économique étaient désormais moins importants.

Une révision à la baisse de l’inflation

L’une des grandes annonces de la BCE pour cette année 2017 est le relèvement des prévisions d’inflation. En effet, elle mise sur une inflation de 1,7% pour cette année 2017, de 1,6% pour 2018 et 1,7% pour l’année 2019. Par ailleurs, la BCE a reconnu que le risque de déflation a disparu dans la zone euro.

Quant à l’inflation sous-jacente, qui ne comprend ni l’énergie, ni le prix de l’alimentation, elle reste à la traîne mais « ne devrait accélérer que progressivement à moyen-terme » a expliqué Mario Draghi, Président de la Banque Centrale Européenne.

Augmentation du PIB

Pour l’année 2017, la BCE prévoit une augmentation de 1,9% du Produit Intérieur Brut (PIB) de la zone Euro. Il est défini comme la valeur de tous les biens et les services produits moins la valeur des biens et des services utilisés dans leur création. En comparaison, pour le premier trimestre 2017, le PIB de la zone euro a augmenté de 1,9% par rapport au premier trimestre de 2016, et de 2,1% pour l’Union européenne.

Cette augmentation du PIB a ainsi permis de relever les prévisions de croissance. En effet l’institution monétaire de Francfort a tablé sur une activité en progression de 1,8% en 2017 et de 1,7% en 2018 et de 1,6% pour 2019.

Des programmes qui stagnent

La BCE a promis que les taux d’intérêt vont stagner et rester à un niveau très bas, niveau le plus bas de l’histoire de la banque et ce pendant encore longtemps pour soutenir l’activité et l’inflation. Cela signifie que le taux directeur restera à zéro, le taux sur les dépôts à -0,40%. De même, la BCE a annoncé qu’elle allait augmenter le volume et allonger la durée de son programme de rachats d’actifs, qui est de 60 milliards d’euros par mois.

Le pétrole profite à la croissance de la zone euro

La progression qui a été observée est due au rebond des prix de l’énergie. En effet, depuis deux ans, la croissance de la zone euro a profité de l’effondrement du cours du pétrole, de l’euro faible et des taux bas.

26
Jan

Le marché des services à la personne

De plus en plus de sociétés se lancent dans le marché du service à la personne. D’après les statistiques, les activités les plus répandues touchent notamment l’aide aux personnes âgées, le soutien scolaire et le ménage.

L’aide à domicile ou maintien à domicile

services à la personne

Malgré la crise économique existante sur certaines activités dans le marché du travail, le service à la personne semble fructueux, atteignant une croissance de plus de 60% ces huit dernières années selon l’observatoire BIPE 2009. En effet, les personnes ayant le plus besoin d’aide à domicile sont surtout les personnes âgées et/ou les handicapés.

D’après les chiffres, le nombre de personnes âgées dépendantes s’accroit de plus en plus, voire 1,2 million en 2013. Sans compter la population française qui continue de vieillir chaque année. Ce qui rend le service d’aide à domicile une véritable source de revenus rapide et facile. De ce fait, la plupart des métiers (sur Pôle emploi) et les objets de formation à distance sont de plus en plus axés dans cette voie comme les compétences en infirmerie par exemple.

Dans la majorité des cas, les services tournent autour du maintien de la maison en générale (service de ménage à domicile, toilettage, courses, cuisine…) puisque la personne en question dispose d’une mobilité réduite avec son âge, voire d’une invalidité complète dans la mesure où elle est handicapée ou paralysée.

Les services d’assistance scolaire ou maternelle

Outre les personnes âgées, les enfants en situation scolaire difficile figurent également dans le cercle des personnes ayant besoin d’aide ou d’assistance à domicile. C’est essentiellement dans le cas où les parents travaillent à plein temps et ne possèdent pas assez de temps pour le suivi de la scolarité de leurs enfants.

Mais cela peut aussi s’agir des enfants présentant un certain retard par rapport aux enfants de leur âge ayant ainsi besoin de cours supplémentaires à domicile. En effet, de nombreux services propose des services d’assistance scolaire avec des programmes personnalisés en tenant compte du fait que 15 à 20 % des élèves ont des difficultés à suivre et à assimiler le programme scolaire.

Les aides ménagères

aide ménagère

D’après les chiffres, le nombre de personnes âgées dépendantes a atteint 1,2 million en 2013. C’est très demandé chez les personnes qui n’ont pas le temps de s’occuper de leur foyer quotidiennement. C’est particulièrement dû au fait que la population active en France est estimée à 28,6 millions de personnes, et cela, à partir de l’âge de 15 ans selon l’Insee.

Outre l’entretien de la maison, les travaux de dépannage et de réparation nécessitants des compétences particulières favorisent aussi le service à la personne. Cela en allant du bricolage aux travaux de main d’œuvre. Pour cela, il y a des services spécialisés pour chaque demande. Et il y a même les personnes recommandées par les magasins spécialisés sans oublier les manutentions à domicile pour les déménagements et autres tâches qui demandent un certain nombre de personnes et aussi des matériels adaptés.

11
Nov

Le marché du ski : les chiffres

Le secteur du ski accapare près de 80% de l’activité touristique de neige mondiale. Pour 400 millions de jours de ski par année, l’on peut affirmer sans hésitation que c’est toujours le sport de prédilection le plus pratiqué partout où la neige est de la partie. Même avec l’introduction de nouvelles disciplines en sports de neige, 81% des pratiquants restent des skieurs.

Les pays monopolisant le tourisme de neige

Au total, 7 pays dans le monde sont les rois dans le secteur du ski. La France, les USA, l’Autriche, le Japon, la Suisse, le Canada, et l’Italie détiennent jusqu’à 80% de la part du marché mondial de l’activité du tourisme de neige. Rien que pour la saison d’hiver en 2010/2011, la France a inscrit 56 millions de jours de ski. Les Etats-Unis caracolent en tête avec 60 millions de journées de ski, l’Autriche en affiche 53 millions et le Japon, 40 millions pour cette même saison.

Les ralliements des sommets enneigés dans le monde

Il est éparpillé dans tout le monde entier plus de 27 000 remontées mécaniques pour avoir accès aux pics enneigés. La France en possède le nombre le plus important, soit 4 000 remontées mécaniques recensées. L’Autriche ainsi que les Etats-Unis affichent ensuite un chiffre de 3 000 remontées chacun.

Les stations de ski dans le monde

Ont été dénombrées, 48 stations principales de ski dispatchées dans le monde. En France se trouvent 14 stations « majeures » parmi ces 48 stations mondiales.

Chiffre d’affaires conséquent

Le secteur du tourisme de neige en France est, l’on peut l’affirmer, la seule activité touristique opposant une stagnation internationale, malgré la baisse observée dans les autres secteurs. Cela est démontré par un chiffre d’affaires de 7 milliards d’euros, déclaré par l’économie des stations françaises la saison dernière. Les domaines skiables de Savoie Mont Blanc ont enregistré des retombées économiques de près de 5,8 milliards d’euros.

La première destination mondiale du ski

Sans prétendre au nombre record de 58.9 millions de journées skieurs de l’année 2009, la France est toutefois de nouveau la première destination mondiale du ski en 2013. Les chiffres affichent un résultat excellent avec une hausse de 5% par comparaison aux chiffres de 2012. Soit près de 87 millions de touristes étrangers sont attendus dans l’Hexagone.

Le classement top 3 des sites les plus prisés

Dans la région Rhône-Alpes, le nombre de visiteurs comptabilisés dépasse largement le cap des 100 000 visiteurs. A la station de l’Aiguille du Midi, il a été recensé 810 928 visiteurs sur ses pistes enneigées. La station du Train du Mont envers affiche 672 463 visiteurs. Quant au Téléphérique du Brévent, 448 750 visiteurs y sont comptés.

Opportunités d’emploi considérables

Malgré la conjoncture économique actuelle partout dans le monde, le secteur du ski en France continue à tenir son challenge des 120 000 emplois créés en zone de montagne, et ce pour la quatrième année consécutive, cette année-ci.

Le marché des paires de ski

Si dans le monde, 4,2 millions de paires de ski sont vendues, la France arrive à en écouler 450 000 paires chaque année. Néanmoins, 45% du volume de ventes de ski annuel est relatif à la location de skis. Ce marché se décline également maintenant en ligne avec la vente de skis et équipement sur internet. De nombreux site e-commerce spécialisés dans le ski, comme par exemple achat-ski.com, sont en train de décoller.

L’élargissement du marché au niveau mondial

Les investissements dans les pays d’Asie comme en Corée du Sud ont permis d’atteindre la barre des 6,5 millions de ses journées skieurs. La Turquie, avec ses pics enneigés de près de 4 000 mètres, et ses 35 remontées mécaniques aménagées en dix ans, contribuent à cet élargissement.
Comme quoi, même si l’élargissement avance pas à pas, ce marché possède indéniablement un potentiel important.

19
Mai

Le port du casque moto : données statistiques et analyse

Depuis le 1er décembre 1975, le port du casque est obligatoire à moto, et le taux de port constaté avoisine toujours 95%. La moto reste un moyen de transport particulièrement dangereux, et les motards sont beaucoup plus exposés aux accidents que les automobilistes. En effet, une probabilité de décès 21 fois supérieure rend compte de cette affirmation. Le port du casque moto est donc une évidence pour se protéger des accidents, limitant ainsi la gravité des collisions et des blessures.

1. Une tendance à la baisse des accidents ?

Depuis 2011, une diminution des décès dus aux accidents de moto a pu être soulignée (23,8% de tués en moins). Bien que ces résultats pour la moto soient encourageants, la tendance à la baisse ne parvient pas à faire oublier le fait que ces chiffres restent trop élevés comparés à ceux des quatre roues. En effet, la probabilité de décès pour les motards est 5,8 fois supérieure. Enfin, la probabilité de se tuer en deux-roues motorisé pour chaque kilomètre parcouru est 21 fois supérieure à celle de l’auto.

2. Le port du casque est de plus en plus systématique

Sur l’ensemble des réseaux de rase campagne et urbain, les valeurs qui ont été relevées sont comprises entre 91% et 98%. Sur les autoroutes, le port du casque atteint une valeur de 98%, les routes départementales atteignent les 97% de port du casque, et seules les routes nationales tirent leur épingle du jeu en n’affichant que 94% des motards usagers qui portent un casque. Ces données statistiques montrent que le port du casque est systématique sur des voies très empruntées, tandis qu’il l’est moins sur des routes moins fréquentées. En effet, l’idée reçue qu’une route moins fréquentée engendrerait moins de circulation et serait donc forcément moins dangereuse, entraine l’absence du port du casque, ce qui est une erreur.

3. Le casque pour limiter les dégâts

Ainsi que le montrent les dernières statistiques françaises, on constate une baisse de la gravité significative lorsque le casque est présent : en France, 70,3% d’impliqués indemnes en moins lorsque le casque n’est pas porté (environ 32%). En terme de mortalité, la présence d’un casque semble déterminante : 96% des impliqués décédés ne portaient pas de casque ou encore que les accidentés avaient 3,4 fois plus de chances de décéder sans casque qu’avec. Aux Etats-Unis, l’étude du National Highway Traffic Safety Administration (2001) a mis en avant le fait que l’abrogation de la loi californienne sur l’obligation du port du casque a entrainé en quatre ans une augmentation de 61% du nombre de motards tués alors que le nombre d’utilisateurs n’augmentait que de 15% sur la même période. Le casque est donc un équipement essentiel pour que le motard se protège des accidents, parfois mortels.

Données récupérées auprès des publications de la sécurité routière, de constructeurs de casques et de spécialistes du casque moto comme la centrale du Casque.