9
Juil

Quelle formation pour devenir assistant commercial ?

Un assistant commercial travaille en étroite collaboration avec les commerciaux. Dans une entreprise les commerciaux ont la lourde responsabilité de promouvoir l’image et l’activité de l’entreprise. Ils recherchent les clients et travaillent à les fidéliser. L’assistant commercial participe à la croissance de l’entreprise en entretenant cette relation client. Il assure également  les tâches administratives qui se rapportent à la vente.

Les formations axées sur la vente

L’assistant commercial est en contact avec plusieurs personnes. Il doit  savoir communiquer clairement les informations qui concernent l’entreprise. Il doit maîtriser l’outil informatique et les logiciels de rédaction et de traitement de données associés. L’apprenant qui souhaite exercer comme assistant commercial débute son cursus académique avec un Baccalauréat, de préférence un Bac pro en commerce, en gestion et administration. Il poursuit ses études en obtenant un BTS ou un DUT. Les filières à privilégier sont entre autres les techniques de commercialisation, le MCO, la gestion des PME, la NDRC, le commerce international. Différentes formules de formation sont proposées. Découvrez les formations de la poste en alternance. Les secteurs d’activités sont divers et dépendent de vos aspirations. 

Les évolutions de carrière

En acquérant de l’expérience comme assistant commercial, vous pouvez accéder au poste de commercial. Si vous poursuivez vos études afin d’obtenir une licence professionnelle toujours orientées vers le commerce ou l’administration vous pourrez gravir les échelons. Des postes à responsabilité sont alors accessibles. Le métier d’assistant commercial est très attrayant et les entreprises recherchent de tels profils. Si vous aimez le marketing et le commerce, vous ne vous ennuierez pas en devenant assistant commercial.  

20
Mai

Immobilier de bureaux, comment choisir ?

La localisation d’un espace professionnel est un élément qui peut avoir un véritable impact sur l’activité d’une entreprise. L’emplacement peut en effet contribuer à impulser l’activité d’une entreprise ou au contraire la ralentir. Il est donc important de bien choisir le lieu d’implantation de vos bureaux mais aussi le local adapté à vos besoins. Dans cet article vous sont proposés quelques éléments pour choisir votre immobilier de bureaux. 

Les critères de choix pour l’emplacement

Opter pour tel ou tel emplacement est un choix stratégique. Selon les activités professionnelles menées par votre entreprise, le lieu d’implantation ne sera pas le même. Pour une entreprise de production par exemple, l’idéal serait un emplacement en périphérie tandis que pour une entreprise commerciale, la localisation la plus adaptée est en centre ville. Le secteur géographique de votre entreprise doit être aisément atteignable non seulement par les clients mais aussi par les employés et autres partenaires de travail. L’accessibilité aux moyens de transports est donc essentielle. Pour vous aider dans la recherche du meilleur emplacement, contactez cette agence pour votre immobilier de bureaux.

Les critères de choix pour le local

Le secteur est important mais la qualité du local l’est tout autant. L’aménagement, la surface de vos bureaux a également son impact sur votre activité. Pour être performants, les employés ont besoin d’un espace agréable et fonctionnel. Les clients doivent avoir de bonnes impressions. Le coût du loyer est un critère de choix déterminant. Il est directement proportionnel à la superficie et aux prestations proposées par le propriétaire des lieux. Il doit être apprécié avec attention.

9
Avr

Comment savoir si un organisme de formation est agréé ?

Si vous souhaitez approfondir vos connaissances, apprendre un nouveau métier ou faire une reconversion, se diriger vers un organisme de formation est la solution logique. Ainsi, vous devez vous tourner vers un organisme agréé qui fournit des formations de qualité. De ce fait, comment savoir si un organisme de formation est agréé ? Le meilleur formateur devra avoir l’agrément de formation et un certificat de référencement DATADOCK.

Vérifiez l’agrément de formation

En réalité, il n’existe pas un agrément de formation à proprement parlé dans les faits. L’organisme de formation doit obtenir un numéro de déclaration d’activité. C’est ce dernier qui prouve la légalité de l’activité de formateur d’un professionnel. Un organisme qui propose des formations payantes aux entreprises ainsi qu’aux particuliers est tenu de posséder un numéro de déclaration conformément à la loi.

Un formateur professionnel peut obtenir son numéro de déclaration à la Direction Régionale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (DRTEFP). Il doit adresser à cette institution une demande accompagnée d’une convention de formation signée avec un client. C’est une obligation légale qui lui permet d’exercer sur le plan juridique.

Vous devez donc vérifier que l’organisme que vous choisissez possède bien son numéro de déclaration avant de vous inscrire.

Choisissez un organisme de formation référencé au Datadock

Si les organismes de formation doivent obtenir un numéro de déclaration, ils doivent aussi être référencés Datadock. Cette obligation conditionne le financement reçus des OPCO, mais pas que. Il s’agit également d’un certificat qui garantit une meilleure qualité des formations dispensées ainsi qu’une meilleure visibilité de l’établissement. Cela est du fait de leurs indicateurs qualité qui accordent plus de crédibilité au niveau de la formation. 

Choisir un organisme de formation référencé Datadock, c’est s’assurer une formation de qualité qui répond à tous vos besoins. Les formations référencées vous offre une meilleure traçabilité en rendant disponible les statistiques du taux de réussite et l’accès à l’emploi d’une formation.

Le Datadock est un outil assez sélectif qui exige des organismes un respect strict de 6 critères de qualité. Selon le décret n°2015-790, seuls les organismes qui sont en conformité avec les critères de qualité peuvent obtenir un certificat de qualité et être enregistrés au référentiel Datadock.

Il faut relever qu’à partir du 1er janvier 2022, le référentiel Datadock sera remplacé par la certification Qualiopi. Cette dernière permettra à tous les prestataires de formation professionnelle de se trouver dans un seul référentiel national. Cette certification comporte 7 critères qualité matérialisés par 32 indicateurs d’appréciation.

Où pouvez-vous trouver les organismes référencés Datadock ?

Vous pouvez vérifier que l’organisme que vous avez choisi fait bien partie de la liste des établissements référencés Datadock. Une liste officielle des établissements référencés regroupe tous les organismes concernés avec un statut « référençable ». Si votre établissement ne se trouve pas dans cette liste, il ne répond pas aux exigences de qualité définis par la loi. La liste est disponible sur le site officiel des organes de formations.

12
Oct

Les évolutions du statut du portage salarial

Depuis sa création en 1988, le portage salarial a connu une évolution impressionnante. En effet, les français s’intéressant à ce statut particulier n’ont cessé de croître durant ces 30 dernières années, notamment à partir des années 2000. Preuve en est, plusieurs études menées par différents organismes démontrent l’intérêt croissant des travailleurs pour le statut du portage salarial.

Profil type d’un professionnel en portage salarial

Le portage salarial présente bien des avantages. De ce fait, il attire beaucoup de professionnels en quête de plus d’indépendance dans l’exercice de leurs fonctions. Par ailleurs, nous vous conseillons de passer par ce lien si vous désirez avoir une définition complète du portage salarial.

D’après les statistiques, les femmes sont de plus en plus nombreuses à opter pour ce statut du portage salarial. Elles représentaient en effet 38% des salariés portés en 2016, et en 2019, ce pourcentage est monté à 49%.

Les portés salariés sont généralement âgés de 50 à 64 ans, et ont très majoritairement fait des études supérieures. Ils ont également été auparavant salariés du secteur privé, et 90% d’entre eux avaient le statut de cadre.

De nos jours le nombre de salariés portés à exercer une activité principale à travers le statut du portage salarial est en nette augmentation. En effet, si les chiffres étaient de 66% en 2016, ils sont maintenant plus de 77% à profiter de cette situation qui est devenue à la fois plus stable et plus durable.

Satisfaction accrue des travailleurs avec le statut du portage salarial

Par rapport aux autres salariés indépendants, les portés sont plus satisfaits de leur statut et de leur condition de travail. En effet, 91% d’entre eux affirment être parfaitement satisfaits par le fait de travailler en portage salarial, tandis que les entrepreneurs ne seraient qu’à 81% satisfaits de leur statut.

Ce taux de satisfaction élevé s’explique par les nombreux avantages offerts par le statut du portage salarial. Ces avantages figurent d’ailleurs parmi les questions fréquemment posées sur le portage. Grâce à ce statut, le travailleur conserve un statut de salarié, mais bénéficie cependant d’une plus grande autonomie et d’une plus grande liberté dans la réalisation de ses missions.

Le portage salarial est également un mode de travail plus simple, plus pratique et plus confortable. Le salarié porté travaille en moyenne 36 heures par semaine, soit nettement moins qu’un entrepreneur (46 heures).

Extension du secteur d’activités

On constate une nette orientation du portage salarial vers le secteur du B2B (Business to business) représentant 95% du marché. Les secteurs les plus privilégiés sont les services professionnels (pour les expertises, les audits, les conseils etc.), l’informatique ou la formation. 44% des salariés portés évoluent dans les services professionnels, alors que ce secteur ne représente que 12% du marché chez les entrepreneurs.

Le portage salarial est ainsi un mode de travail qui a un bel avenir devant lui. Il convient parfaitement si l’on est un préretraité ou retraité souhaitant une reconversion professionnelle. On peut aussi investir dans la pierre pour assurer ses vieux jours, mais si l’on désire continuer à être actif professionnellement, alors le statut du portage salarial semble être la solution idéale.

21
Août

Quelles sont les questions les plus souvent posées sur le portage salarial ?

Le portage salarial a vu le jour à la fin des années 80. Il connait un grand engouement actuellement avec l’avènement du statut d’auto-entrepreneur. En tant que consultant, vous n’êtes pas rattaché à l’entreprise mais vous signez cependant un contrat de travail avec les avantages qui vont avec.

Portage salarial : ce que les futurs auto-entrepreneurs veulent savoir

Avec le concept de portage salarial, vous avez une activité professionnelle indépendante mais le temps d’effecteur une ou plusieurs missions pour une société de portage, vous allez bénéficier des mêmes avantages sociaux qu’un salarié. Pour mieux comprendre, le portage salarial, voici les questions que vous pouvez souvent lire sur les FAQ :

  • Quelle est la différence entre intérim et portage salarial ?
  • Comment est-on rémunéré lorsqu’on choisit le statut de portage salarial ?
  • Est-il utile de déclarer à Pôle Emploi les indemnités perçues dans le cadre du portage salarial ?
  • Comment se présente le contrat de travail pour un porté salarial ?
  • Quels sont les avantages du portage salarial ?
  • Quelle couverture sociale bénéficie un porté salarial ?
  • Quels sont les aspects commerciaux du portage salarial ?

Pour ceux qui ne le savent pas encore, le portage salarial ne peut être pratiqué par les personnes qui exercent un métier de service à la personne ainsi que par ceux qui sont affiliées à un ordre. Ce sont généralement dans les domaines de la communication, du marketing, du graphisme, du secrétariat ainsi que de la conception de site web qu’on trouve le statut du portage salarial. Sauf s’il y a une clause spécifique dans le contrat de travail, un salarié peut réaliser des missions de portage. Les retraités peuvent aussi exercer une activité en portage sous certaines conditions.

Comment fonctionne le portage salarial ?

Le portage salarial est devenu légal depuis 2008 et ce, à la suite de la modernisation du marché du travail. Il s’agit d’une relation entre une société de portage, une personne portée et des entreprises clientes qui est officialisée par la signature de contrat.

La personne portée doit exécuter des missions pour des entreprises clientes par l’intermédiaire d’une société de portage. Il n’est pas un salarié de l’entreprise cliente mais il reçoit un salaire et ses frais professionnels sont remboursés. Pour information, le portage salarial est différent de l’intérim sur le fait que le porté travaille pour le compte de la société de portage. C’est cette dernière qui est en relation avec les entreprises. L’intérim, quant à lui, travaille directement avec l’entreprise. En termes de rémunération, le salarié porté est libre de négocier son salaire, contrairement à l’intérim qui doit se conformer à la grille salariale de l’entreprise où il travaille.

Pour avoir une mission dans le cadre du portage salarial, il appartient au salarié porté de faire lui-même des prospections auprès d’une entreprise cliente. Le portage salarial est accessible à Paris mais aussi à Marseille et dans toutes les grandes villes. Il doit ensuite vérifier que l’exécution de la mission est compatible avec le statut de salarié porté. Il faut notamment que la durée de la mission ne dépasse pas 36 mois. Si les critères sont remplis, il faut chercher une entreprise de portage, étant donné que l’entreprise qui propose la mission ne peut embaucher directement le salarié porté. Il signe ensuite un contrat de travail en portage salarial avec l’entreprise de portage. Cette dernière va conclure un contrat commercial de prestation de portage salarial avec l’entreprise cliente. Les horaires et les lieux de travail sont précisés au préalable avec l’entreprise cliente.

A noter qu’une société de portage prélève sur le chiffre d’affaire encaissé HT du salarié porté un pourcentage de 6 à 10%, tel que défini dans la convention de partenariat préalablement signée.

Pourquoi choisir le statut de salarié porté ?

Pour résumer, voici les principales raisons d’opter pour le portage salarial :

  • Vous pouvez développer votre activité sans créer une entreprise.
  • Vous bénéficiez d’une totale autonomie.
  • Vous profitez d’une couverture sociale complète.
  • C’est la société de portage qui s’occupe des tâches administratives et fiscales.
8
Mar

Le marché des agences de communication en pleine tempête

Les agences de communication jouent de grands rôles dans la création ou dans le développement d’une entreprise, mais actuellement le marché de ce secteur connait un certain bouleversement. Il existe de nombreux enjeux à considérer comme la révolution numérique, l’accroissement du nombre de médias et l’évolution technologique. Découvrez comment se manifeste ce changement dans ce domaine de la communication.

Les agences de communication veulent progresser

L’espoir du changement est actuellement une évidence et beaucoup d’agences le revendiquent. Toutefois, en se penchant vers ces nouvelles, bien que ces entités accentuent sur ce besoin de changer leurs modèles et de créer des nouveaux, il y a toujours quelques agences qui ne sont pas prêtes et n’arrivent pas à entamer des actions concrètes. Face aux diverses contraintes technologiques rencontrées, elles ont du mal à survivre en dépit des différentes mesures qu’elles ont prises comme la mise en place d’une plateforme numérique ou la réorganisation de leurs services. Par conséquent, les attentes et les comportements de la plupart des clients ont changé.

En effet, il faut accroitre le nombre d’agences qui se concentrent sur les réseaux de production aux structures modernes puisqu’elles devancent largement celles qui opèrent d’une manière traditionnelle. Ainsi, on constate un bouleversement des conditions de marché, car les nouveaux acteurs sont beaucoup plus performants et gagnent plus de part que les autres.

Une situation très délicate

L’association des agences-conseils en communication a effectué une analyse économique et financière concernant les agences de communication. Elle a élucidé les chiffres clés sur le bouleversement du marché de ce secteur. Il a été conclu qu’une agence de communication à Toulouse a connu une baisse de profitabilité, car elle était de 8 % en 2007 et s’est retrouvée à 3 % en 2015.

Aussi, au niveau de l’exploitation, le salaire moyen annuel est estimé à 50?000 euros. Celui-ci ne connait que de faible augmentation voire même une stagnation alors que le nombre de jours de travail a haussé de 22 %. Cette situation a une répercussion sur la capacité à séduire les jeunes talents. Toutes ces données affirment le fait qu’il existe une certaine pression qui pèse sur les agences de communication qui sont des éléments clés pour la promotion des entreprises.

Il faut quand même noter que ces agences représentent un partenaire important pour beaucoup de sociétés, car elles contribuent pour la création de leur marque ou pour leur publicité. Cependant, avec l’augmentation de la concurrence entre ces acteurs, la communication de plus en plus indispensable. C’est pourquoi l’affaiblissement des agences aura un impact considérable sur l’économie.

La concurrence qui menace les agences

Actuellement, les agences s’entrechoquent avec de grands cabinets de consulting. Ces derniers remportent une grande part de marché, car ils ont opté pour une politique de transformation digitale qui priorise la rentabilité accompagnée de créativité. Ce qui n’est pas le cas de certaines agences qui se focalisent seulement sur la créativité, mais ne donnent pas de l’importance aux nécessités économiques des projets de leurs clients.

Les cabinets de consulting ont beaucoup plus d’avance que les agences de communication. Ils frappent sur les deux points forts de celles-ci qui sont l’achat média et la création en mettant en avant les compétences de leurs cadres dirigeants et de leurs employés, mais de l’autre côté, les agences ne se contentent que d’une équipe très restreinte.

26
Fév

Le marché du CRM en plein essor

Dans le secteur du marché des logiciels, le marché du CRM a connu une croissance exceptionnelle. En 2017, le CRM a connu un véritable succès et ne cessera de continuer sur cette lancée pour 2018 et les années qui suivent.

Les chiffres sur le marché du CRM

Vers la fin 2017, sur une échelle mondiale, le chiffre d’affaires des logiciels de la gestion de la relation client ou CRM a nettement surpassé le chiffre d’affaires de la gestion des bases de données. Le CRM se retrouve alors en première place sur le classement de tous les marchés.

Selon Gartner, le chiffre d’affaires mondial des logiciels sur la gestion de la relation client en 2017 était de 39.5 milliards de dollars, et continue de se classer en tête en 2018, laissant derrière lui le marché du logiciel des bases de données SGBD derrière avec 36,8 milliards de dollars. La croissance du CRM n’est pas prête de s’arrêter, actuellement située à un taux de 16 % confirme Julian Poulter, directeur de recherche de chez Gartner.

La conformité, un budget augmenté

Il en va de source sûre que la mise en conformité au règlement général européen sur la protection des données (RGPD) accroîtra encore considérablement le budget dédié aux CRM pour les années qui suivent. La conformité sur le RGPD est vitale et très importante pour les organisations, car d’autre part si les clients posent un doute sur le dispositif de protection des données d’une quelconque organisation, ils pourront de par leur propre gré ne fournir que de fausses informations sur leur profil ou même peuvent clore définitivement leurs comptes.

La finalité sera alors une impossibilité de parvenir à accrocher des clients avec de bonnes propositions au bon moment.

Les startups mis en avant

Dans le secteur de la vente, les résultats sur la vente de logiciels CRM sont très promettant. Zoho par exemple met à la disposition de ses clients une suite complète de logiciels pour entreprise dont le module CRM. Salesforce le leader des logiciels CRM lui a dépassé les 10 milliards de chiffre d’affaires avec encore de nombreux ajustements pour prendre de la carrure sur les profitabilités du cycle de vente.

Les startups axées sur la vente de logiciels d’aide à la vente ont été prises d’assaut par les acquisiteurs après avoir été financés par le capital-risque qui a largement été facilité ces derniers temps sur différents secteurs, tels que :

  • Gestion des opportunités : Piedrive, Pipeliner, ProsperWorks, Bpm’online… sont les fournisseurs leaders sur le processus de la gestion des pipelines.

  • Gestion de contenu : CallidusCloud, Apptus, Bloomfire, ClearSide, Docurated, Highspot, Showpad, Seismic, SAVO, offrent la possibilité de créer, consolider, et permettent aux équipes de marketing et de vente d’émettre des contenus via différents canaux.

  • Analytics : une catégorie très fragmentée qui englobe les logiciels qui peuvent mesurer de larges catégories comme les prévisions de vente jusqu’à la notation des prospects.

  • Pour finir, les éditeurs de solutions CRM sont optimistes avec une forte croissance de l’activité et de nettes progressions notées depuis ces dernières années. Cette solution est désormais plébiscitée par les sociétés de toutes envergures pour remplacer les systèmes existants.

    20
    Fév

    Le point sur le marché de l’autopartage

    En termes d’image, les allemands commencent à adopter le concept de l’autopartage, même si ce sont comme nous le savons, parmi les plus grands constructeurs automobiles. La production de voiture est un métier qui diffère complètement de la location de voiture, mais dorénavant, avec l’avancée des nouvelles formes de mobilité, la ligne qui délimite ces deux secteurs est désormais estompée.

    En quoi consiste l’autopartage ?

    L’autopartage est un concept qui vise aux clients à disposer d’une voiture ou d’un véhicule, sans pour autant s’entremêler avec les inconvénients d’être propriétaire. L’autopartage permet l’utilisation de véhicules en libre-service et de façon régulière. Pratique, plus économique, l’autopartage pousse les gens à être désormais moins dépendants à l’utilisation de leurs voitures personnelles.

    Les chiffres sur l’autopartage

    Afin d’atteindre 5.6milliards d’euros en 2020, le marché de l’autopartage devrait s’intensifier mondialement et atteindre 30 % selon l’expertise du cabinet de conseil Roland Berger. Ces chiffres sont encore moindres comparés aux 1milliard 300 euros de ventes automobiles en 2014 quand les recettes ne profitent pas juste aux constructeurs. Désormais, nombre d’entre eux considèrent déjà projeter dans les services de locations de voitures de type libre-service.

    Les marques dans la course

    Les plus actifs sont les Allemands BMW et Daimler, tandis que Volkswagen concocte un programme nommé Quicar encore silencieux et aussi que la firme Opel affirme s’y lancer très prochainement. Sans reste, l’américain Ford, les Français Citroën et Peugeot ou encore les Japonais Toyota et Nissan sont également parmi les coureurs.

    La stratégie est tout de même du marketing, entre autres, une façon de faire connaitre la marque à des futurs acheteurs de voiture. Une nouvelle opportunité pour les constructeurs, afin de ne pas rester sur le banc de touche face à la concurrence.

    Daimler qui a lancé le service Car2go, l’un des leaders dans le domaine reste sur le stade de modèle économique nouveau, mais il faut savoir que dans certaines villes, sur le plan opérationnel, le service est déjà un franc succès et rapporte déjà beaucoup à la firme.

    Drivenow de BMW affirme pour sa part être parmi les premiers en Allemagne, et déjà en lancement à Vienne, Londres, à San Francisco et bientôt dans plusieurs villes européennes et surtout aux États-Unis.

    Les allemands en pole position

    Daimler avec son Car2go possède déjà à son actif plus d’un million d’utilisateurs, qui le place en tête sur le marché mondial de l’autopartage sans station ou le concept de pouvoir garer la voiture dans un lieu autre que celui où il a été pris, contrairement à l’américain Zipcar qui ne propose que des stations fixes. Daimler met à la disposition de sa clientèle plus de 13.000 citadines dans une localité de 30 villes européennes et d’Amérique du Nord et caresse le projet de s’implanter en Chine prochainement.

    En résumé, l’autopartage vise à réduire l’utilisation des voitures personnelles, et ainsi déboucher les grandes villes de la pollution, des bouchons et doit permettre un déplacement simple pour les clients. Une solution de déplacement simple et économique, telle est la devise de la création de l’autopartage.

    12
    Oct

    Entretien et propreté : un secteur porteur

    Chaque individu rêve de vivre dans un environnement calme, paisible mais surtout propre. Et pourtant cela ne va pas se produire tout seul sans le moindre effort et sans un entretien quotidien. La propreté est un besoin quotidien, et exigée par l’être humain. Ce qui affirme alors que l’entretien et la propreté constitue secteur promoteur.

    Les divers moyens d’entretiens existants

    De nos jours, Il existe de nombreuses entreprises qui font diverses services de nettoyage et qui ne sont pas indispensable étant donné que chaque famille, même une personne vivant toute seule a besoin d’aide pour entretenir leur maison. Il faut souligner, qu’actuellement, les hôpitaux, les écoles et même les bureaux font appel à des services de nettoyage pour leur local. Et cela va encore plus loin, car des services de nettoyage de bureaux entrent aussi parmi les services fournis par ces sociétés de nettoyage.

    La propreté comme un métier

    En faire un métier, n’est plus une perspective nouvelle pour certaine personne. D’autant plus qu’en dépit des difficultés économiques qui touchent certaines catégories d’emplois, le métier de l’entretien et de la propreté par contre y est dispensé. Les entreprises ne cessent de recruter et d’élargir leurs environnements d’exercices et le mode de recrutement n’est pas aussi rude que celui dans les autres catégories de métier. C’est un secteur très dynamique en Ile de France, mais également très flexible.

    Le service de nettoyage : La totale !

    La qualité des services proposés englobe tout ce qui pourrait constituer la demande d’un client en ce qui concerne le nettoyage. Offrir un environnement de vie et de travail agréable constitue en principe le principal but de ceux qui en font un métier. Entrant également dans le monde professionnel, se démarquer des autres entreprises rentre aussi parmi les objectifs de chaque société. Les services de nettoyages vont du plus petit au plus grand détail. Pour ce secteur il n’est pas difficile de trouver des appels d’offres.

    Les catégories de nettoyage que proposent les entreprises

    Les services proposés sont actuellement très diversifiés. Même le remplacement des consommables hygiéniques font parti des propositions de certaines sociétés. Répondre à tout ce qui pourrait constituer un besoin primaire en matière d’entretien est actuellement proposé par les services de nettoyage. Ce qui fait la différence réside surtout dans le fait que nul ne peut se passer du nettoyage des bureaux ou de la maison, on aura toujours besoin alors de ce métier.

    Offre des opportunités d’emplois

    Dans ce secteur, les personnes embauchées vont de celles sans qualification jusqu’à celles diplômées. Le secteur est alors très diversifié et offre l’opportunité à toute catégorie de personne de pouvoir y postuler. Celui-ci ouvre alors beaucoup de porte au niveau du travail et facilite également la vie quotidienne de chaque personne tant physique que morale. Par rapport à ce métier, nous pouvons voir quelques chiffres clés afin de s’y référer.

    14
    Fév

    Le marché de la literie

    Le secteur de l’ameublement connaît des difficultés depuis quelques années en France. Toutefois, le marché de la literie semble ne pas avoir été touché par cette crise. Voire il s’en sort très bien et affiche même une belle progression de ses ventes. En comparaison avec les autres familles de produits du secteur de l’ameublement, comme la cuisine, ou encore les meubles de jardin, les ventes de literie progressent bien sur le marché.

    literie

    La seule famille en croissance en 2014

    D’après la FNAEM et l’UNIFA : « seule la literie aura enregistré une croissance de ses ventes sur l’exercice 2014 ». Mais encore selon le bilan qu’ils ont publié en 2014, les ventes de literie auront progressé de +2,6% sur l’année. Les spécialistes de la literie auront réalisé une belle performance, tant sur le plan technologique que sur le plan d’élargissement des points de vente. Pour cette même année, il faut savoir que le chiffre d’affaire du secteur s’est établi à 1,19 milliards d’euros TTC, soit 13% de part du marché.

    Une progression des ventes bien justifiée

    Cette bonne santé du marché de la literie peut s’expliquer en partie par les innovations technologiques qui ne cessent d’apparaître dans la fabrication des matelas, des sommiers… qui tendent à se rapprocher toujours plus, sinon à devancer, les besoins des consommateurs. Mais également, selon l’Ipea (Institut de prospective et d’études de l’ameublement) : « les spécialistes literie profitent pleinement d’un marché de renouvellement développé, les ménages sont conscients qu’ils doivent changer leur literie régulièrement, ce qui les rend moins dépendants des aléas de la construction ».

    Les grandes enseignes spécialisées dans la distribution à grande échelle s’impliquent de leur côté, de plus en plus dans ce secteur en pleine expansion.

    Un achat important

    Un autre élément en faveur de la literie française consiste en une clientèle qui ne lésine pas sur le budget dès lors qu’il s’agit de s’acheter une literie. La plupart des Français respectent la durée de détention d’un matelas, qui doit être entre 10 et 12 ans au maximum. En outre, le lit reste en France un achat important puisque de la literie dépend le bien être individuel indispensable pour un épanouissement complet de chaque personne.

    épanouissement après une bonne nuit de sommeil

    Des besoins grandissant

    Les fabricants l’auront bien compris, les Français recherchent toujours plus de confort et toujours de personnalisation quant à la question de leur literie. Il faut par ailleurs savoir que la population tend à grandir : un Français âgé de 21 ans mesure en moyenne 1,76m quand une jeune Française mesure en moyenne 1.62m. Cet accroissement de la taille conduit à des besoins également agrandis en literie. Aujourd’hui, les dimensions classiques sont délaissées au profit des dimensions dites « sur mesure ».

    Des technologies toujours plus novatrices

    Les nouveautés en matière de technologie de fabrication de literie contribuent beaucoup à la bonne santé du marché. Ainsi la vente de matelas à mémoire de forme progresse. En effet, les gens fatigués et stressés par leur quotidien recherchent un refuge cocooning pour se détendre pendant leur sommeil. Les technologies s’adaptent à ces besoins et proposent moult bienfaits offerts par la literie : soutien parfait du corps, zéro point de pression…