9
Sep

Améliorez vos investissements grâce à cet expert-comptable

Pour être certain que les investissements ne seront pas problématiques pour votre entreprise, vous devez avoir une visibilité optimisée. L’État vous impose de faire appel à un expert-comptable, il s’occupera alors de toutes les démarches en lien avec l’administration. Que ce soit pour la comptabilité, la fiscalité ou la gestion de vos finances, vous pourrez compter sur les compétences de cet expert-comptable en Bretagne. Ce dernier sera à votre disposition pour toutes les obligations administratives.

Pourquoi faire appel à un expert-comptable ?

Il s’agit d’une contrainte imposée à toutes les sociétés en France, il faut donc qu’un comptable s’occupe de la gestion de toutes les finances. Les dirigeants peuvent ainsi déléguer ces tâches qui sont souvent laborieuses. Par contre, il est important de préciser qu’il sera indispensable pour vos prochains investissements. Un expert-comptable en Bretagne vous offre une belle visibilité, vous savez qu’il faut ou non booster la croissance de votre entreprise.

  • Il sera à vos côtés pour les obligations comptables et fiscales, la déclaration du résultat, mais également les comptes annuels…
  • Ce professionnel s’adapte à votre méthode de travail que vous utilisiez des outils, des logiciels pour la comptabilité ou son système personnel.

Ce sont plus de 1100 clients qui ont fait appel à ces professionnels des finances et l’entreprise affiche un chiffre d’affaires de plus de 3 millions d’euros. Cela montre qu’elle est solide et vous pourrez alors compter sur ses services pour gérer vos ressources. De plus, les professionnels sont déclarés à l’ordre des experts-comptables, c’est un gage de confiance à ne pas négliger.

29
Mai

Débuter une activité : booster la visibilité de votre entreprise

La stratégie marketing fait depuis longtemps partie des critères pour garantir le succès d’une entreprise. La communication est le volet de celle-ci qui mérite le plus de concertation pour mener à bien la mission. Si aujourd’hui, la communication virtuelle est en pleine expansion et a déjà prouvé à maintes reprises son efficacité, celle physique n’a pas dit son dernier mot et apporte considérablement sa pierre à l’édifice. La combinaison des deux campagnes, dans les bonnes proportions, permettra à l’entreprise d’atteindre son but.

Les supports physiques de publicité, une visibilité assurée

Que ce soit pour se faire connaître, pour promouvoir une offre ou un produit, pour gagner en notoriété ou encore pour se différencier de la concurrence, la communication print reste un incontournable pour une entreprise. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises proposent d’imprimer des flyers à prix discount, des affiches ou des cartes de visite pour mettre en valeur ce type de communication. Recourir à la diffusion de flyers lors du démarrage de son activité permet de toucher un public large, qui n’est pas forcément accoutumé au digital. À l’heure où la concurrence du référencement naturel sur les moteurs de recherche est rude, la communication print est une alternative non négligeable puisqu’elle permet de se placer directement sur le marché sans avoir à recourir à la technologie et à en subir les contraintes.

Communication print

Comment confectionner des flyers ?

En tant qu’outils de promotion, les flyers se doivent d’être les plus communicatifs et les plus précis possible. Pour cela, ils doivent respecter les règles de proportion et l’identité visuelle de l’entreprise. L’idéal serait de faire appel à des professionnels pour la conception et l’impression de vos flyers pour que le rendu marque du premier coup l’esprit de la clientèle.

Soyez fidèle à votre identité visuelle

Quel que soit votre choix de communication, il est important de conserver l’identité visuelle de l’entreprise. Ne vous éloignez pas de la charte graphique (graphisme, logotype, pictogramme, les couleurs…) que vous avez établie auparavant. Celle-ci sera en effet votre signature, soit la marque qui permettra à vos clients et futurs clients de vous identifier directement. Mettez un point d’honneur à travailler ingénieusement votre logo : le fond et la forme sont déterminants. L’idée est d’attirer l’attention du public en créant un déclic qui le fera se rappeler de vous à la vue de certaines formes et /ou couleurs. Pour capter suffisamment l’attention, il est conseillé d’utiliser pas plus de trois couleurs.

Insérez intelligemment votre message

Le contenu textuel est votre seule occasion d’exprimer concrètement ce que vous souhaitez transmettre. Vous vous devez donc d’être précis, direct et clair dans le message que vous souhaitez véhiculer. Choisissez les mots et les expressions à utiliser et évitez tout superflu. Triez les informations pertinentes et mettez-les en valeur. Donnez de la dynamique à vos textes pour que le public ne se perde pas et ne s’ennuie pas lors de la lecture. Si vous souhaitez intégrer une image, choisissez-en une qui ne domine pas le texte ou qui au contraire sera insignifiante. Enfin, mettez toujours en évidence vos coordonnées.

13
Mar

La finance de l’ombre dépasse les 50 000 milliards de dollars

La finance de l’ombre ou le shadow banking était évaluée à 51 600 milliards de dollars d’après le rapport du Conseil de stabilité financière ou le FSB (Financial Stability Board). Cela représente 14 % des actifs financiers mondiaux en 2017. Désormais, ce système est appelé intermédiation financière par des non-banques du fait qu’il s’avère être un terme plutôt négatif. En dépit de ce changement de nomination, le contenu et les tendances de fond n’ont pas été transformés.

Les tâches attribuées au conseil de stabilité financière

La finance parallèle continue à avancer bien que le rythme de progression est plus lent que celui constaté auparavant. Suivant les estimations du Financial Stability Board, l’ensemble des actifs du shadow banking, qui n’intègre pas les fonds de pension et les compagnies d’assurances, est de 51 600 milliards de dollars, une augmentation de 8,5 % en décembre 2017.

Le FSB, né du G20 après la crise de 2007-2008, a pour rôle d’effectuer annuellement une recherche qui permet de mesurer le poids des activités financières se trouvant en dehors du système bancaire classique et les risques que celles-ci incombent au système financier global. Ainsi, l’entité a réalisé une étude auprès de 29 juridictions, ce qui constitue 80 % de l’économie mondiale.

La chine et la finance de l’ombre

Il est évident que la Chine représente le poids lourd du shadow banking, elle y consacre environ 8 254 milliards de dollars. De l’autre côté, on peut retrouver les Iles Caimans avec un montant de 5 388 milliards de dollars, l’Irlande avec près de 2 800 milliards de dollars et le Luxembourg à 3 564 milliards de dollars. Ces quatre pays composent les deux tiers de la finance de l’ombre. En général, cette finance compte 184 000 milliards de dollars constituant 48 % de tous les actifs financiers mondiaux.

La grande part du shadow banking

Les non-banques ont une mission très importante dans le système financier selon la déclaration du gouverneur de la banque centrale de Pays-Bas appelé Klaas Knot, qui est à la fois le chef du comité des vulnérabilités dans le FSB. Ainsi, les autorités devront être plus prudentes face aux risques d’instabilité financière qui s’annoncent dernièrement. C’est pourquoi le FSB a fait entrer dans son tableau la Chine et le Luxembourg pendant deux années successives.

Les enjeux des leveraged loans

D’une façon plus précise, le rapport a mentionné certains points de vigilance tels que les crédits donnés aux fintechs ou les prêts à effet de levier également connus sous le nom de leverages loans, les prêts accordés aux entreprises qui sont encore victimes d’endettement.

D’après le FSB, il y a 1 400 milliards de dollars de stock de dette qui pèse sur les acteurs non bancaires. Cependant, ces derniers possèdent également deux tiers des produits créés en regroupant ces prêts et les ClO ou collateralized loan obligation. Le comité envisage ainsi d’améliorer la transparence de marché afin d’avoir plus d’informations sur le détenteur final des risques et pour mieux gérer la finance de l’ombre.

4
Nov

Tout comprendre sur le shadow banking

Même si la finance parallèle est actuellement puissante et très favorable pour le bon fonctionnement de l’économie du monde, il est à savoir qu’elle n’est pas réglementée. Cependant, qu’en est-il du shadow banking ? Quelle est son origine et son mode de fonctionnement ? Quels sont ses principaux acteurs ?

Qu’appele-t-on shadow banking ?

Actuellement, on trouve le shadow banking à travers la planète des finances. Devenu puissant, évolutif, multiforme voire même omniprésent, il est devenu crucial pour la bonne marche du système capitaliste, le système dans lequel vit le monde d’aujourd’hui. Cependant, aucune règle n’est encore mise en place malgré les dangers qu’il peut affecter.

Cependant, il est bon de souligner qu’il existe non seulement le système bancaire classique, mais aussi le shadow banking sur la planète des finances. Ce dernier n’est autre que ce que l’on appelle la finance de l’ombre, ou bien la finance fantôme. Il prend en charge tous les intermédiaires financiers à part le système bancaire traditionnel. Aussi, ces intermédiaires contribuent au financement de l’économie du monde. De ce fait, il s’agit de toutes les opérations financières qui s’effectuent en dehors des bilans bancaires.

L’origine et les principaux facteurs du shadow banking

La titrisation a vu le jour dans les années 80 pendant la libéralisation totale des marchés de la finance. Ces marchés étaient considérés comme auto-régulants. Par ailleurs, la titrisation a été favorable tant pour couvrir les dangers qui pouvaient toucher le change que ceux qui affectaient le taux. Cependant, ces montagnes financières sont devenues complexes, systématiques, excessives voire même risquées et spéculatives sans la présence de cadre.

Face aux crises, des réglementations bancaires ont été adoptées pour garantir la liquidité et la solvabilité des banques tout comme la viabilité du système. Pourtant, le problème est que cette régulation n’est pas très convenable pour les banques, tant sur les marges de manœuvre que sur la rentabilité, qui les amène effectivement à la contourner.

Les principaux acteurs du shadow banking ne sont autres que les banques d’affaires, les fonds de titrisation, les mutuels, les assurances-vie et les hedge funds. S’ajoute à cela les fonds monétaires, les fonds négociés en Bourse, les fonds en pension, etc. Par ailleurs, ils touchent également les entreprises de capital-investissement, les sociétés de garantie de crédit, les sociétés d’affacturage (crédit inter-entreprises), les trusts de gestion d’actifs (immobiliers par exemple), etc.

Le shadow banking peut également regrouper les établissements de crédit-conso ou de crédit-auto, de micro-crédit ou même les sites de crowdfunding pour les financements participatifs et les plateformes de monnaies virtuelles, comme le cas de bitcoins par exemple. Contrairement aux banques traditionnelles, ces entités ne fonctionnent qu’avec le crédit, ainsi ne perçoivent aucun dépôt d’argent venant d’un individu. À cet effet, elles ne sont pas affectées par la réglementation bancaire traditionnelle et leurs activités ne sont pas alors assurées ni garanties par les Etats et les Banques centrales.

18
Déc

La baisse des taux de crédits va-t-elle continuer indéfiniment ?

Cela fait déjà quelques années que le taux de crédits relatif au crédit immobilier diminue considérablement. Bien que tout le monde prolifère sur une petite remontée pour les mois à venir, ceux qui souhaitent investir dans un projet quelconque trouvent la situation plus qu’attractive. Aussi, on se pose la question sur la pérennisation de cette baisse bien appréciée. Pour combien de temps encore peut-on espérer le maintien d’un tel taux de crédits ? Est-ce que cela peut durer indéfiniment ?

baisse-taux

Tout ce qu’il y a à savoir sur le crédit immobilier

La plupart du commun des mortels a besoin de demander un crédit pour investir dans un domaine aussi important que l’immobilier. Cependant, la somme allouée au débiteur dépend de plusieurs paramètres à négocier avec la banque ; parmi eux les revenus mensuels et le potentiel de l’investissement. Pour mettre toutes les chances de leurs côtés, les plus avisés ont recours à la prestation d’un courtier pour négocier les termes du contrat et définir les modalités de remboursement. Quoi qu’il en soit, il vous appartient, à vous, de manière préalable, d’évaluer votre capacité d’emprunt. En fonction de ces données, vous pouvez discuter plus amplement de votre situation et de votre possibilité avec le courtier. En lui fournissant tous les outils nécessaires, il saura plus à même à négocier en votre faveur.

La question de la mensualité

En contractant un prêt, vous devez rembourser la banque de manière régulière : c’est la mensualité. Le montant de celle-ci se compose de trois éléments : la partie du capital, le taux de crédits et la cotisation pour l’assurance. Pour la partie du capital à imputer chaque mois au débiteur, sa valeur doit être fixée à l’avance au moment de l’octroi du crédit. Elle résulte d’une négociation entre le débiteur, représenté par le courtier, et la banque. En ce qui concerne l’assurance, la cotisation dépend de la valeur du prêt et de la capacité de remboursement du débiteur. Enfin, le taux d’intérêt est fixé par la banque. Ces dernières années, ce taux dégringole incroyablement pour le bonheur des débiteurs.

Une baisse prévisible

Avec la montée en flèche du nombre des organismes créanciers, la concurrence devient de plus en plus ardue. Aussi, les banques se trouvent dans l’obligation de réduire au maximum les taux d’intérêt pour garder une place dans le marché. Cette tendance à la baisse a commencé en 2012. À cette époque, le taux moyen des crédits avoisinait les 4% du capital. Une année après, ce chiffre est passé à 3,08% et à 2,59% pour l’année 2014. Le taux le plus bas, on l’avait prédit pour 2015 ; une prédiction que le temps n’a pas manqué de prouver. En effet, pour un emprunt immobilier à rembourser pour une durée de 15 ans, le taux d’intérêt avoisine les 1,95% contre 2,25% pour une durée de 20 ans.

Une possibilité de renégociation

Pour ceux qui ont contracté un crédit avant la baisse du taux d’intérêt, ils peuvent très bien renégocier son prêt pour jouir de ces nouvelles dispositions. Pour ce faire, il faut recontacter la banque et redéfinir les termes de remboursement du prêt. Le concerné peut le faire lui-même ou avoir recours à un courtier pour plus de sûreté. Bien que les analystes tendent à penser que le taux d’intérêt va augmenter légèrement pour les années à venir, les clients se disent confiants sur le maintien de la baisse.

18
Oct

Le point sur le projet de la Loi Finances 2017

Il faut bien l’admettre, le projet de Loi Finances 2017 a fait parler de lui auprès du grand public. Beaucoup de Français sont confus par le caractère controversé de ce projet. Dans le même communiqué où Mr Michel Sapin, ministre de l’économie, invoque la hausse des impôts, il insiste également sur la baisse des prélèvements pour la classe moyenne. Il est clair que les autochtones se perdent facilement dans le discours des économistes et des politiciens. Au bout de quelques recherches et des demandes d’explication, voici tout ce qu’il y a à retenir ce projet de Loi.

plf-2017

Un bon point pour la classe moyenne

Il faut bien admettre que cette fois-ci, les classes moyennes et modestes peuvent un peu respirer. Le gouvernement prend en compte la référence du revenu fiscal des employés. Si celui-ci est inférieur à 18 500 euros pour les célibataires et à 37 000 euros pour les couples, les concernés peuvent jouir d’une réduction de 20% sur l’impôt sur le revenu. Pour les demi-parts, on ajoute 3700 euros à ces montants. Sinon, au vote de ce projet de Loi Finances 2017, des mesures de lissage seront étudiées pour éviter les effets de seuil.

Pour les retraités

Les retraités aussi tirent bien d’avantages de ce projet de Loi. En effet, celui-ci se propose de généraliser le crédit d’impôt. Dans la pratique, cela se traduit par l’obtention d’une réduction d’impôt au lieu d’un crédit d’impôt pour les retraités. Cependant, certains retraités ne sont pas imposés. Aussi, on généralise le crédit d’impôt pour que tous les retraités puissent jouir de la réduction.

Pour les impatriés

Les Français qui rentrent de l’étranger pour travailler directement dans une entreprise siégée en France bénéficient d’un régime fiscal particulier. Considérant les dépenses occasionnés par le déplacement et le déménagement, ils jouissent d’une exonération fiscale sur le montant de leur prime d’impatriation jusqu’à la fin de la 8ème année suivant le retour.

Le cas des gros travaux

Les nus propriétaires d’un bien immobilier ne seront pas tenus de payer un quelconque impôt pour les travaux d’envergure qu’ils réalisent sur le bien.

Le cas des successions

Le projet de Loi des Finances invoque également la suppression de la réduction des droits de succession. Dans le régime actuel, les transmissions de biens sont assorties d’une réduction de 305 euros ; sauf si le légataire ou l’héritier a trois enfants au moment de son décès. Dans ce cas, les impôts sur les démarches de successions sont réduits de 610 euros à partir du deuxième enfant. Ces réductions seront abolies sur le projet de loi est voté.

Le cas de l’immobilier

Ce projet de Loi Finances 2017 se propose de continuer le dispositif Pinel qui régit l’achat d’immobilier neuf à un but locatif jusqu’au 31 décembre 2018. Il en est de même pour la réduction d’impôt « Censi Bouvard » qui concerne directement les habitations pour les seniors et les étudiants.

Les propriétaires de résidences de tourisme sont également touchés par ce changement. Ils bénéficient d’une réduction d’impôt de 20% s’ils effectuent des travaux de rénovation des résidences afin de suivre les normes écologiques, énergétiques et pour répondre aux besoins des handicapés.

Ce sont les quelques points à retenir sur ce projet de Loi. Il faut juste garder en tête que celui-ci sera débattu à la chambre bicamérale, donc rien n’est encore joué !

26
Fév

Le point sur l’écotaxe

Suite au rapport du GIEC en 1995 : «l’étude des preuves suggère une influence détectable de l’activité humaine sur le climat planétaire », le protocole de Kyoto fut signé le 11 septembre 1997 et fut entré en vigueur le 16 février 2005. Ce traité International, signé par 184 Etats, vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre par différents moyens comme l’écotaxe.
Instaurée par l’économiste libéral britannique Arthur Cecil Pigou, l’écotaxe est considérée comme une taxe pigouvienne et consiste à internaliser les déséconomies externes, donc les dommages engendrés par l’activité d’un agent qui rejette le coût de ses activités sur la société. Il s’agit donc de pénaliser les unités de production afin de les inciter à réduire leurs émissions de dioxyde de carbone ou CO².

Application de l’écotaxe

Nombreux sont les pays qui ont pris en compte l’application de l’écotaxe. Quant à l’Union Européenne, elle a imaginé un mécanisme hybride pour l’application du protocole de Kyoto : chaque pays membre a reçu un objectif de réduction de ses émissions. Par la suite, chaque pays adopte les mesures qu’il préfère : obtention du permis d’émissions ou l’écotaxe ou encore, une combinaison des deux. Comme le cas de la Suède qui a mis en place l’écotaxe pour réduire les émissions de dioxyde de soufre. En Allemagne, elle se présente sous la forme de la taxe sur l’électricité et les hydrocarbures. En France, elle se présente sous différentes formes, mais l’écotaxe poids lourd a été récemment suspendue.

Les remises en cause

Toutefois, beaucoup de lobbies économiques ou de personnalités publiques contestent le traité et considèrent que le réchauffement climatique n’est pas d’origine humaine. Comme Claude Allègre, le fameux géochimiste, qui annonce dans un article de L’Express que « La cause de cette modification climatique est inconnue. Est-ce l’homme ? Est-ce la nature ? Les archives glaciaires ou historiques nous indiquent que le climat est un phénomène capricieux. Les théories météorologiques mathématiques le confirment. »

Les détracteurs de la taxe pigouvienne soutiennent également qu’en l’absence d’autorité mondiale, il est impossible de généraliser le recours à des instruments fiscaux. Les permis et les écotaxes nécessitent effectivement un cadre économique et politique qui malheureusement n’existe pas encore. Et au moment de fixer la taxe, l’Etat ne peut pas être sûr du résultat en termes de réduction d’émissions. Même si grâce au théorème de Weitzman, on sait que si les coûts qui ont la plus forte croissance sont ceux de la diminution des rejets, il est préférable d’utiliser l’écotaxe pour plafonner le coût de l’effort de dépollution.

Le développement économique et social se fait au détriment de la nature. Cependant, le mécanisme de marché de quotas d’émission, instauré à l’échelle communautaire, ne peut suffire à lui seul au respect des engagements. Le dioxyde de carbone étant le principal gaz à effet de serre, ne concerne qu’une partie du secteur industriel et énergétique. Le secteur de l’agriculture, des transports, du résidentiel et du tertiaire sont donc exclus. Alors que ces deux derniers secteurs sont souvent les principaux émetteurs de gaz à effet de serre.

13
Oct

Vers une chute du cours de l’or sur le long terme ?

Le cours de l’or reste un souci et une source d’appréhension pour les personnes qui ont ou qui pensent investir dans le précieux métal. Le mois dernier, le prix de l’or s’est établi à 1.181,5 $ l’once. Sachant que ce cours n’a pas cessé de chuter, soit une baisse de -7,6% sur un an en juin 2015 et de -1,4% sur un mois, qu’en est-il des perspectives de ce cours du métal jaune sur le long terme ?

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La chute libre continue

La chute libre du cours de l’or continue. En effet, si le cours de l’once s’était établi à 1.181,5 $ en juin 2015, à la fin du mois de juillet 2015 il est alors de 1.084,85 €. Et alors que la baisse de 30% enregistrée en 3 ans a déjà créé autant de vifs mécontentements que d’angoisses et inquiétudes, qu’en sera-t-il encore cette fois-ci ? Toujours est-il que plusieurs investisseurs se demandent sérieusement si l’or constitue encore une valeur refuge et si les prix déjà historiquement bas vont encore continuer longtemps à baisser.

Néanmoins, faut-il rappeler que l’investissement dans l’or s’appréhende sur le long terme et que l’envisager sur le court terme peut être une catastrophe financière ?

Pourquoi l’or va-t-il encore chuter ?

En premier, la hausse des taux d’intérêts de la Fed représente un facteur considérable dans le phénomène. En effet comme l’or est coté en dollars, une remontée du billet vert signifie une chute du métal jaune. Deuxièmement, la Grèce qui voit la fin de sa crise ajoute également à ce recul du cours de l’or : les banques grecques regagnent la confiance des épargnants qui redeviennent enthousiastes pour investir ailleurs que dans les valeurs refuges traditionnelles telles que l’or.

Troisièmement quant à la Chine, elle a ralenti son rythme d’achat d’or. D’ailleurs, le pays d’annoncer que ses stocks d’or se sont accrus de 60% depuis 2009. L’on pourra alors raisonnablement en déduire que le prix de l’or ne cessera pas de baisser, du moins pour cette année encore.

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Vers une chute sur le long terme ?

Si pour cette année 2015, la tendance à la baisse du cours de l’or semble être confirmée, la tendance à l’horizon 2016 semblerait plus encourageante. En effet selon une enquête Reuters publiée ces derniers jours, « L’or, dont le cours a touché un nouveau creux pluriannuel, devrait subir un troisième recul annuel consécutif en 2015 avant de rebondir l’an prochain, une fois que la Réserve fédérale américaine aura relevé ses taux ». Mais alors, serait-il maintenant le bon moment pour acheter ?

27
Août

Comment obtenir un prêt personnel à bon taux?

Nombreuses sont les personnes qui sont à la recherche d’une offre de crédit non contraignante. Il faut savoir qu’une offre de crédit comprend différents éléments, et ces éléments varient selon l’établissement qui propose le prêt.
Les points essentiels à retenir à propos des taux d’un prêt personnel, l’obtention d’un prêt et la comparaison des offres de crédit sont décrits dans cet article.

La demande de crédit

Un crédit doit être avant tout un crédit qui soit adapté au besoin de son demandeur. Ce dernier aura donc à choisir le type de prêt qu’il souhaite (prêt personnel, crédit voiture, crédit travaux,…).
Le crédit contracté doit être un prêt que le demandeur peut rembourser sans trop de difficultés. Le montant des mensualités du crédit doivent être compatibles avec les revenus du demandeur. Afin de s’en assurer, une étude de la situation financière du demandeur peut être effectuée pour en ressortir son taux d’endettement.
Par ailleurs, un crédit doit aussi présenter quelques garanties en cas de problème qui pourrait survenir. Dans de telles situations, il est conseillé de souscrire parallèlement une assurance emprunteur. Certes, cela sera une autre charge supplémentaire qui augmentera le coût total du crédit, mais dans des situations difficiles, cela peut être une vraie aubaine.

Obtenir un crédit personnel à bon taux

pret personnel meilleur tauxQui dit pret personnel meilleur taux dit un TAEG généralement bas. En effet, l’indicateur clé est le TAEG ou Taux Annuel Effectif Global. Cet indicateur intègre tous les coûts liés au crédit à savoir le taux nominal du prêt et les frais de dossier. La législation oblige les organismes de crédit à mentionner ce taux à toute proposition de prêt, notamment les crédits consommation.
Ainsi, le meilleur taux pour un prêt personnel sera en fonction de ce TAEG, du montant du prêt demandé et de la durée de ce dernier ou la mensualité du remboursement. Bien évidemment, ce TAEG dépendra également de l’organisme de crédit.

Une comparaison pour trouver la meilleure offre

La concurrence entre les établissements de crédit étant assez forte, il y a donc une opportunité pour examiner les offres disponibles. Pour ce faire, le moyen le plus simple est de procéder à une sélection des crédits personnels via un comparateur en ligne. Cet outil recense les formules de prêts adaptés à une personne selon les données qu’il est tenu de remplir (identité, fonction, situation matrimoniale et financière).
Ces services sont gratuits et n’engagent en rien l’utilisateur qui souhaite trouver un prêt. Les offres correspondant au besoin du demandeur seront donc envoyées avec tous les détails et frais liés au crédit, dont le TAEG, pour que le demandeur puisse choisir en fonction de ses besoins et de ses revenus.

27
Mar

L’effondrement du cours de l’Euro : notre analyse

euro

Il y a une raison à tout, c’est la loi fondamentale de la finance. Et lorsque la monnaie unique européenne connaît une récession sans précédent, il est plus que nécessaire de chercher à en connaître les raisons. Qu’en est-il vraiment de cette baisse de l’euro ?

L’euro connaît actuellement une chute vertigineuse

La baisse de l’euro était constante depuis un moment. Mais lorsque son cours est passé à 1,1729 dollars au mois de janvier, il y avait de quoi réfléchir. Pour rappel, c’est bien plus bas que son taux lors de sa création en 1999. Qu’a-t-il donc bien pu se passer ?

L’une des raisons : la hausse du dollar

Il faut savoir que la chute actuelle de l’euro est surtout le reflet d’une économie américaine qui se redresse. Avec un taux de chômage qui est à 6% et le nombre d’emplois qui bat son plein, il est évident que les répercussions sur la parité euro-dollar était inévitable. D’ailleurs, la FED a déjà annoncé la fin des rachats d’actifs qui étaient censés booster l’économie américaine, maintenant que la relance est effectuée.

dollar

La baisse peut se poursuivre encore longtemps

Plusieurs indicateurs peuvent laisser penser que la chute du cours de l’euro pourrait se poursuivre encore quelques temps. Avant tout, il faut savoir que le rythme de croissance prévu pour 2015 est de 3.1% aux Etats-Unis, alors que dans la zone euro elle est prévue stagner à 1.3%. Concrètement, cela va alors pousser les investisseurs à se tourner vers les Etats-Unis car les opportunités y sont actuellement plus rentables.

Mais à part cela, l’on peut également se pencher sur la politique monétaire de la zone euro et des Etats-Unis. Compte tenu d’une économie globale peu convaincante, la Banque Centrale Européenne semble s’avancer à grand pas vers les rachats d’actifs. A contrario, la FED a déjà annoncé que les Etats-Unis allaient arrêter le programme d’assouplissement quantitatif destiné à booster l’économie, dans la mesure où cette dernière est actuellement sur la bonne voie.

Ainsi, il n’est pas difficile de déduire que le cours de l’euro va continuer sur la baisse par rapport au dollar.

L’économie de la zone euro ne s’en plaindra pas

Clairement, les effets de cette baisse du cours de la monnaie unique européenne seront positifs sur l’économie de la zone euro. En effet, cette situation tend à hausser la compétitivité des prix des exportations. Ainsi, la demande internationale aux entreprises de la zone euro va augmenter de manière automatique. Selon les spécialistes, une dépréciation de 10% de l’euro pourrait entraîner une hausse de 6% des exportations.

zone euro

Certes, la baisse de l’euro peut faire augmenter les prix des biens importés, mais toujours est-il que le bilan reste positif pour les entreprises qui se développent au sein de la zone euro.

Par rapport au dollar, la monnaie unique européenne se dirige actuellement vers le bas. En effet, la politique monétaire en zone euro semble s’orienter vers les rachats d’actifs, de manière à requinquer l’économie dans la zone, alors que les Etats-Unis de leur côté ont déclaré vouloir cesser ces mesures d’assouplissement.